Épictète aurait dit 

« Ce ne sont pas les évènements qui perturbent

les hommes mais l’idée qu’ils s’en font »

Et au prix d’un anachronisme crasse j’ajouterais

que cette idée soit consciente ou inconsciente.

 

Dans l’une de ces brochures d’information, la Fondation suisse de cardiologie mettait en évidence que le stress psychosocial est l’un des principaux facteurs de risque d’infarctus. Mobilisant diverses hormones, le stress prépare l’organisme à fuir ou à attaquer face à un danger. Dans ce sens il est facteur de vie à condition justement de réaliser l’effort pour lequel il nous prépare puis de revenir en situation de calme réparateur. Or notre civilisation ne permet ni cet effort réparateur ni ce retour au calme, elle nous maintient au contraire en situation de tension donc de stress permanent.

Plutôt que de subir cet état, il s’agit d’y remédier.

Pour cela, dès sa fondation Cardioforme a offert à ses membres la possibilité de pratiquer la relaxation afin de mieux gérer ce facteur de risque.

Quel que soit l’École de laquelle elle se revendique, la relaxation vise à diminuer son emprise en rendant la personne plus présente à elle-même, au monde qui l’entoure et par là lui permet de prendre la véritable mesure des choses et non plus celle fantasmée des pires catastrophes que nous instillent nos anxiétés.

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